Léo, domani...
Joan Pau Verdier
Textes & musiques : Léo Ferré
Sauf textes :
- Pierre Seghers (Merde à Vauban)
- Jean-Roger Caussimon (Comme à Ostende)
- Paul Verlaine (Je vous vois encor)
- Louis Aragon (Est-ce ainsi que les hommes vivent ?)
- Rutebeuf (Pauvre Rutebeuf)
- Guillaume Apollinaire (L'Adieu)
Sauf musique : J.P. Verdier & P. Descamps (Les Sentiers interdits)
Publié le 28 septembre 2001 par La Mémoire et la Mer.
1. Les Sentiers interdits
2. Vingt ans
3. La Mélancolie
4. Merde à Vauban
5. Christie
6. Les Copains d' la neuille
7. Comme à Ostende
8. Je vous vois encor
9. Graine d'ananar
10. Est-ce ainsi que les hommes vivent ?
11. L'Amour fou
12. Le Printemps des poètes
13. Pauvre Rutebeuf
14. Demain (INÉDIT)
15. Ni diu ni mestre
16. Le Loup (INÉDIT)
17. L'Adieu
Libertaire convaincu, Joan-Pau Verdier aura été dans les années 1970 une figure-phare de la renaissance et de la diffusion de la chanson occitane, en étant le premier chanteur occitaniste à signer chez une major.
Pas vraiment folkloriste, ce musicien éclectique manifeste en 1974 sa grande admiration envers Léo Ferré, avec une chanson de son cru (Maledetto, Léo), puis en adaptant Ni Dieu ni maître en occitan. Léo dira de lui qu'il « écrit des choses vertébrées ».
En 1992, Léo lui donne carte blanche pour un album de reprises qu'il n'entendra pas. Enregistré en 1996, l'album ne trouvera pas de diffuseur. Jusqu'à sa transmutation en ce Léo, domani décontracté et pointu.
Alaric Perrolier – 2017
