« Nous aurons la mer
À deux pas de l'étoile
Les jours de grand vent »
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50 partitions, 182 pages. Couverture souple illustrée (photo : Hubert Grooteclaes).
Format 170x220 mm
Gravure musicale : François Betti & Alphonse Autran
Graphisme : Rinaldo Maria Chiesa
Publié le 21 septembre 1998 par La Mémoire et la Mer & Les Nouvelles Éditions Méridian.
ÉPUISÉ
Pour les musiciens qui souhaitent interpréter les chansons de Léo Ferré, les connues comme les moins connues, voici une malle aux trésors inépuisable : l'intégrale des partitions piano-voix de Léo dans une belle présentation, claire et lisible, agrémentée d'agréables et surprenantes illustrations, introduite à chaque fois par un texte de sa plume.
Nous avons pris le parti de présenter les partitions selon leur date de dépôt, et non forcément selon la date de publication des chansons sur disque, cette partie émergée de l’iceberg ne recoupant pas forcément le rythme interne de l’inspiration créatrice du poète-musicien. Aborder la chronologie de l'œuvre différemment, voilà aussi un des intérêts de ces recueils, et non des moindres.
Dans ce troisième volume, vous trouverez les partitions des chansons de l'album Paname (à l'exception de La Maffia, disponible dans le volume II), celles des mémorables mises en musique des poésies de Louis Aragon (Les Chansons d'Aragon), ainsi que celles des chansons, interdites ou non, créées en 1961 (à l'exception des Quat'-Cents Coups, La Gueuse et Chanson mécanisée, disponibles dans le volume II, de Mon général, disponible dans le volume IV, et de Pacific Blues, disponible dans le volume V), et pour moitié celles de l'album La Langue française (La Vieille Pèlerine, Mister Giorgina, T'es chouette, Plus jamais, La vie est louche, Les Tziganes, T'es rock, coco ! sont disponibles dans le volume IV de Paroles et musique de toute une vie). Mais aussi des partitions de chansons méconnues voire inédites, que nous vous laissons découvrir (pour vous en faire une idée, allez voir du côté de l'album La Mauvaise Graine)...
Un écrin riche en joyaux aussi versicolores que Jolie môme, Paname, Les Poètes, L'Âge d'or, L'Affiche rouge, Est-ce ainsi que les hommes vivent ?, Il n'aurait fallu, L'Étrangère, Elsa, Je chante pour passer le temps, Thank you Satan, Vingt ans, Y en a marre, Chanson pour elle, Nous deux, ou encore la drolatique et visionnaire Langue française...
Alaric Perrolier – 2016